jeudi 26 avril 2007

Notre patrimoine Breton: le monument de Saint Aubin du Cormier

Histoire de la bretagne vendredi 28 juillet 1488 Sur le Web Agence Bretagne Presse

Le combat commence par une décharge générale des deux artilleries qui fauche, dans chacun des deux camps, beaucoup de monde. C’était alors la coutume de tirer au début du combat, car on mettait beaucoup de temps par la suite à recharger les pièces.

Puis l’avant-garde des Bretons, sous le commandement du Maréchal de Bretagne, Jean de Rieux, s’élance contre la droite des Français, dévalant la pente du coteau au cri de Saint-Samson ! qui était le saint du jour, et un des saints fondateurs de la Bretagne. Les Suisses criaient de leur côté Saint-Lau, Saint-Lau (La Borderie T.4).
ABP

Notre patrimoine Breton: le monument de Saint Aubin du Cormier; les 800 soldats Allemands du Saint Empire


Notre patrimoine Breton: le monument de Saint Aubin du Cormier: Les 500 Anglais, les 3500 Basques et Espagnols, les 6000 Bretons



Notre patrimoine Breton: le monument de Saint Aubin du Cormier

28 juillet 1488
L'armée bretonne est battue par

l'armée du roi de France à Saint
Aubin-du-Cormier (Ille-et-Vilaine).
Le duc de Bretagne François II doit
accepter de donner sa fille Anne en
mariage au Dauphin, le futur roi
Charles VIII. Celui-ci mourra sans
héritier en 1498, Anne devra alors
épouser son successeur Louis XII.
La Bretagne, indépendante depuis
la victoire de Nominoë sur Charles
le Chauve en 845, sera définitivement
rattaché au trône français en 1532.
Voir aussi : Bataille - Histoire de la

Bretagne - Louis XII - Charles VIII -
Anne de Bretagne - Histoire des
Valois - Histoire de France -Le 28 Juillet - Année 1488

dimanche 15 avril 2007

comment fleurissent les poiriers, avec le refrain en gallo d'un vieille chanson campagnarde

y'a un nid d'pies dans l'périE
j'entends lé petits qui chantent
y'a un nid d'pies dans l'périE
j'entends lé petits chantE



mercredi 11 avril 2007

Tout en Gallo: © Tout fin pien d’vagues, voir original en français ensuite

Tout fin pien d’vagues,
Ça y’accouss’ et ça piacote à pus de cent à la fas
Comme dé saouvaïges

Y’avE Enn’ ventée à dEconnE lé beux
Sus l’bord de l’iaou,
V’la qu’on vEyE tout berzillE comm’ les bouEnneries
Qui s’trouvent au fin fond de l’iaou,
On n’avE pien lé mirett’s.

Et ma EbErluE,
J’té la en train d’daonsE, bézE par la lumiErr’,
Je n’y vEyé pus que par à coups,
Y’avE lé lames qui bErluizE en vat-et-vients
Et m’encrouillE.

V’la t’y pas qu’en d’ssus-nous,
Çà y’appEll’, ça huch', ça s’mElEy' au l’Ecumm’,
Le ciel y d’quErouiEill’ et s’y encraoudd’.

Je sE tout dEgrignou, v’la l’oraïgg’ qui s’ramEnn’
Et ça ramaougg’ tout fin pien au l’mont, la, bé haout,
Je n’saï pus ren en tout,
Et pas possibb’ de vas au y’où c’é-t’y que s’ra la piagg’.

Version Gallo : Zidorr', conteur gallo en bocage vitréen


Cent Vagues Sauvages poème original de Pierre Hurteaux lu ci dessus en Gallo

Cent Vagues Sauvages

Dans ce vent, vue des rives,
Scintillait comme opales
La couleur éruptive
Et crue des nacres pâles.

Egaré de clarté,
De dérive épanouie
En ourlets miroités
Vifs et vite évanouis
Sous le corset des lames,
Je dansais ébloui.

Alors le ciel acclame
L’écume et s’y enfouit.

Pas d’aplomb, et j’ignore,
En ces remous d’orage,
Le zénith au dehors,
Et où sera la plage.

Pierre Hurteaux